Rencontrez les acteurs clés de la transformation du Crédit Immobilier de France et découvrez pourquoi ils sont "Very Apte" !

{"src":"https:\/\/www.veryapte.com\/wp-content\/uploads\/2019\/10\/iStock-868408948.jpg","id":"ce6aaca98e3eac889b046327f41a6697"}

Laura a redessiné son parcours professionnel

Posté le 31 octobre 2019

Au Crédit Immobilier de France, Laura Lagier était gestionnaire traitement de masse au service gestion relation client. Après 2 ans et demi à ce poste, elle a pu bénéficier d’un accompagnement EIC, 6 mois avant la fin de son contrat. Cette étape a été fondatrice dans la construction de la suite de son parcours professionnel.

 

Quels sont les éléments fondateurs d’un accompagnement EIC réussi selon vous ?

L’accompagnement de l’EIC est une réelle opportunité pour se donner les moyens de rebondir avant le licenciement par lequel nous passons tous. Trouver son projet d’avenir est essentiel et peut être une source d’inquiétude. Il y a tellement de possibilités : en choisir une est complexe et engageant.

Aussi, selon moi, l’accompagnement de l’EIC se caractérise principalement par le temps. Le temps que l’on passe à réaliser une introspection sur ses anciens choix, les expériences dont on est riche et le temps que l’on passe à explorer les ouvertures possibles. L’EIC permet d’éviter de s’engouffrer dans une décision hâtive, qui pourrait ne pas nous correspondre.

Le second élément important est la confiance que l’on accorde à l’accompagnateur. En effet, rien n’est possible si l’on se sent jugé sur ses idées ou ses rêves professionnels. Car ils ne sont pas tous au premier abord d’une logique évidente et pourtant, ils peuvent découler sur de beaux projets. La bienveillance de l’accompagnateur est à cet égard un élément fondamental.

Enfin, le dernier point est l’investissement personnel. Hors du bureau de l’accompagnateur, il est important de consacrer des recherches en lien avec ce qui a été évoqué. On ne ressort pas de l’accompagnement avec une réponse directe mais avec des pistes à approfondir ; puis, une fois que l’on a développé son projet, avec des outils pour le concrétiser.


Quels conseils pourriez-vous donner à une personne qui hésiterait à passer par cette étape ?

Dans notre quotidien, il est difficile de s’accorder le temps nécessaire pour définir correctement son avenir professionnel. Dans le cadre de l’EIC, ce temps nous est offert. Rares sont les sociétés qui permettent à leurs collaborateurs, sur leurs heures de travail, d’être accompagnés pour réfléchir à leur future carrière. Le CIF a mis de nombreuses aides à notre disposition pour rebondir, l’EIC en fait partie, je pense qu’il faut en profiter. 

Aujourd’hui, où en êtes-vous dans votre parcours ?

Aujourd’hui, je suis dans le réseau commercial d’une banque de proximité. Je pense y avoir trouvé ma place avec un métier relationnel et évolutif dans une entreprise dynamique et ambitieuse.

J’ai eu la chance de signer un CDI 15 jours après avoir quitté le CIF. En plus de l’aide que j’ai reçue de Farida Derouiche avant mon embauche, elle a continué à être présente par la suite pour s’assurer que ce poste me correspondait bien. Je lui en suis reconnaissante.

Auriez-vous un mot, une phrase ou une image pour définir ou illustrer votre expérience (parcours EIC) ?  

L’EIC nous aide à rencontrer l’opportunité qui est faite pour nous. Je vais donc choisir l’image de la boussole.